mardi 1 mars 2016

Tuk tuk family


Quelle ne fut pas la joie des enfants lorsque nous avons vu le long de la mer un tuk tuk à louer. Pour 400 baths et un chauffeur déjà habitué à passer les vitesses en tongs, à nous la liberté !!!
Nous avons donc fait le tour de Prachuap Khiri Khan, du marché au port de pêche, classé parc national, parcouru les longues anses qui bordent les plages.
Nous avons trouvé des petites gargotes de front de mer pour manger du poisson grillé aux herbes, de la salade de papaye légèrement épicée ( pour une fois !), du riz gluant, en pensant à ceux qui dans un coin du pays basque n' allaient pas tarder à se lever pour faire brûler San Pantzar.
Nous avons frôlé les voitures stationnées, passé avec succès les dos d' ânes (dès le deuxième), évité les motos à contre sens.
Nous avons essayé les deux plages, la première où Mahé a eu la peur de sa vie en sentant ses pieds quitter le ban de sable, et la deuxième dans la zone militaire où ils jouent dans les vagues et se font emporter.
Le vent souffle très fort sur Prachuap Khiri Khan, nous avons vu un kite surfer se faire traîner sur le sable sur 100 mètres, emporté par la puissance du vent.
Nous n' avons pas trouvé les singes par contre, mais des biches et des autruches dans le parc.Les militaires nous ont indiqué où ils se cachaient, se sera pour demain.
C' est en lisant avec Milo ce soir l' application du code de la route thaï, expliqué aux non initiés, que nous avons pu déchiffrer certains des comportements des chauffeurs :
- le klaxon permet d' avertir les autres usagers que le conducteur souhaite passer (et ça Philippe maîtrise )
- si un conducteur vous fait des appels de phares, il vous indique de ne pas avancer car il s' est engagé lui-même (et ça Philippe n' avait pas compris...)
- la règle cardinale de sécurité est de laisser la priorité au véhicule le plus gros
- un clignotant sur la gauche signifie que vous pouvez passer (attention, on roule à gauche ici)
- un clignotant sur la droite signale qu' un véhicule arrive dans l' autre sens....
Demain, sur la route, on va déchirer !















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