mercredi 3 juillet 2019

Malacca






Après une matinée à profiter une dernière fois de la piscine du 37 ème étage, nous avons filé vers la gare de bus TBS pour prendre le chemin de Malacca.
Un bus réservé à la dernière minute, avec quatre places au fond, ce qui faisait râler Milo, qui voulait être devant.
Mais le bus était très confortable ( même sans wi-fi ni chargeur pour les portables) et les deux heures de route très rapidement passées.
Nous avons rejoint le Taj grand hôtel, qui n' en a que la couleur, et la vue sur la rue dans little India.
Et c' est tout naturellement que nous avons mangé dans le quartier indien, un thali "not spicy" mais qui arrachait bien quand même. Des chapatis, dosa au fromage et des fruits pressés qui faisaient passer le tout quand même.
Mahé s' est fait exploser le ventre en acceptant le rab de riz, qui allait avec le dhal piquant qui l' accompagnait...
Plus de place pour un roti canai, sorte de galette feuilletée croustillante et sucrée, découverte à Kuala et qui nous avait régalés.
Un gulab jamun ferait aussi l' affaire.
Puis c' est sous un soleil de plomb que nous sommes allés découvrir la vieille ville de Malacca. Sans doute la plus vieille ville de Malaisie, qui a subit  les influences de part son histoire des chinois, des indiens,des arabes, avant d' être colonisée par les portugais, les hollandais, les anglais et les japonais.
Ici, encore plus qu' ailleurs on en perçoit ce melting pot multiculturel.
Les églises côtoient temples chinois et épiceries indiennes. 
Beaucoup de tamouls par ici.
Et aussi beaucoup de touristes asiatiques rencontrés au gré des rues, ou au bord des canaux. Des japonais, probablement des singapouriens, des vietnamiens, qui suivent leur guide au drapeau en prenant des selfies dans des poses improbables.
Il semble que l' attraction ici, en plus de manger beaucoup, comme dans tout voyage du touriste asiatique , soit la balade en bateau sur le canl, et également le tour en tuktuk kitschissime. Cela fait la particularité de la ville : des rickshaws au goût douteux, Hello Kitty, Pikatchu ou Baby Shark, avec lumière et sono à fond déambulant dans les rues classées au patrimoine de l' Unesco. Une curiosité.
Bref, on s' est trouvé un bon spot pour rire de tout ça. Et on a vite fait le tour de la ville.
Heureusement que nous n' avons réservé qu' une nuit.











 

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