lundi 24 juin 2019

En route !


4 masques, 4 tubas, 4 paires de chaussures pour les coraux et autant pour la randonnée, 2 flacons de crème solaire indice 50+, 2 casquettes, 2 chapeaux, de la lotion antimoustique thaïlandaise, prête à faire le voyage retour….
Nous avions tout coché sur la liste, et à 14h nous avions bouclé les sacs à dos. 5 en tout.
Direction Bordeaux au milieu des travaux et des camions.
Air France jusqu’ à Paris, puis nous avons découvert sur le tarmac l’ envergure de l’ Airbus A380-800 qui nous conduirait jusqu’ à Abu Dhabi.
Un avion à deux étages qui faisait rêver Milo bien avant d’ y entrer.
Un avion à moitié vide, avec de la place pour les jambes, un grand choix de films de jeux et de musique.
La restauration était très décevante, même si Milo a grugé pour avoir double dose, et un autre plat, il n’ en était pas meilleur. Et personne ne s’ est vraiment reposé sur les 7 heures de vol.
Arrivés au petit matin , 6h45 heure locale à Abu Dhabi, nous avons retrouvé les femmes voilées en noir et les hommes en blanc qui les précèdent et leur indiquent où s’ asseoir dans la petite salle d’ embarquement glacée.
A peine 45 mn pour choper la crève plus tard, et nous embarquions pour 7 nouvelles heures de vol jusqu à la capitale thaïlandaise.
C’ est en sortant que nous avons compris le choc thermique : 37 degrés affichés à 19h.
Nous avons mieux apprécié la climatisation du bus S1 qui nous emmenait à Banglamphu, sutout coincés dans les bouchons.
Et nous avons tout retrouvé : les odeurs de la ville, les fous du volants, les lumières des buildings, les temples à leurs pieds, les gargotes sur les trottoirs, les taxis multicolores, les coups de klaxons et les parfums de la cuisine de rue.
A quelques rues de democracy monument se tenaient la guesthouse réservée pour la nuit. Un tour dans le quartier pour nous restaurer, constater les méfaits du tourisme même sur les marchants de rue….qui ont repris leur marchandise, après avoir cherché à nous faire payer le double du prix leurs brochettes pourtant fort appétissantes.
Nous avons traversé Khao San Road, que nous avions connu beaucoup plus accueillante, laissant derrière nous les décibels des bars à bruit,les ping-pong party des bars à hôtesses, les cocktails douteux et les ballons de gaz hilarant.
Nous avons quand même trouvé le spécialiste de la brochette laquée, en faisant la queue avec les thaïs quelques rues plus loin, et avoir dégusté à leurs côtés, les succulents morceaux de porc tout juste grillés, avec la sauce trop piquante, le riz gluant et les petits concombres, assis sur des nattes à même le trottoir.
Un slurpee au coca pour Mahé, et nous pouvions rentrer pour un repos très attendu.








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